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CYTACTIF Bio 30 gélules
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CYTACTIF Bio 30 gélules

prévention des gènes urinaires
confort au féminin
élimination

Le Chiendent favorise l'élimination urinaire, la fonction excrétoire des reins et aide à maintenir la santé du système urinaire (1).

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Description

Cytactif Bio est une formule en gélules, qui existe depuis plus de dix ans chez Fitoform, et permet de prévenir et soulager les désagréments urinaires.

Parce que, en cas d'infections légères des voies urinaires, les plantes sont une bonne alternative aux médicaments, voire aux antibiotiques, Cytactif est une super association unique de cranberry, chiendent, propolis et de lactobacillus.

 

Qu’est-ce que le Cytactif ?

Cytactif Bio est une formule en gélules, qui existe depuis plus de dix ans chez Fitoform, et permet de prévenir et soulager les désagréments urinaires. Parce que, en cas d'infections légères des voies urinaires, les plantes sont une bonne alternative aux médicaments, voire aux antibiotiques, Cytactif est une super association unique de cranberry, chiendent, propolis et de lactobacillus. Cette super association de plantes et ingrédients est essentiellement à visée diurétique, donc elle ambitionne d’augmenter l’élimination et d’aider à drainer les voies urinaires. Le saviez-vous?

Le saviez-vous?

Cytactif Bio est une association inédite de cranberry, chiendent, propolis et lactobacillus, pour prévenir et soulager les inconforts urinaires

Comment ça marche ?

L’action des canneberges (cranberries), chiendent, propolis et lactobacillus est concomitante, et va dans le sens d’une action antimicrobienne et diurétique, adaptée aux cystites à répétition. Nous allons ici nous concentrer sur les effets de la canneberge.   Malgré quelques controverses sur leurs effets, les canneberges - sous diverses formes - sont largement utilisées depuis plusieurs décennies pour traiter - mais aussi prévenir - les récidives d’infections urinaires. Pour les patients, elles peuvent être un complément intéressant aux antibiotiques [1]. 

Comment cela fonctionne ? Plusieurs voies sont étudiées. Tout d’abord les canneberges diminueraient l'adhérence bactérienne aux cellules uro-épithéliales, donc réduiraient l'incidence des infections urinaires chez la plupart des malades. Une douzaine d'essais cliniques vont dans ce sens, mais ces essais sont un peu contestables, car utilisant différents schémas posologiques et une grande variété de produits à base de canneberges, tels que le concentré de jus de canneberge, un cocktail de jus de canneberge voire des capsules [2] ! 

 

Le saviez-vous?

Le saviez-vous?

Infections urinaires, cystites, et autres gênes urinaires concernent 1 femme sur 10 chaque année en France, selon l’Assurance Maladie. 

Ensuite, des études portant sur les effets des canneberges sur l'urine ont montré que l'excrétion d'acide hippurique des baies de canneberges aide l'urine à rester acide, ce qui jouerait un rôle pour traiter et prévenir les infections. 

L’ensemble des études scientifiques disponibles a conduit l’Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments (AFSSA) à reconnaître l’intérêt de la canneberge et à autoriser l’allégation suivante : « La canneberge contribue à diminuer la fixation de certaines bactéries sur les parois des voies urinaires ». Son efficacité n’est pas démontrée chez l’enfant ou le traumatisé médullaire réalisant des cathétérismes vésicaux intermittents sur vessie neurologique. Le dosage et la forme galénique restent à définir par des études comparant les différentes formes et dosages disponibles. L’utilisation de la canneberge semble diminuer l’incidence des récidives de cystites chez les femmes présentant des infections urinaires à répétition, mais les critères d’éligibilité sont à définir.   La prescription en pratique courante devra être motivée par la réalisation de nouvelles études cliniques montrant son efficacité et l’absence de complication à long terme [3].

Pourquoi choisir notre produit ?
  • Une formule avec le minimum d’excipients

Cytactif Bio, ce sont des plantes et un ferment lactique sous formes de poudre ou d’extraits concentrés - les actifs de la formule - et juste quelques excipients, pour assurer la forme en gélules.     

  • Une formule 100% bio   

Nous sommes engagés auprès d’un organisme certificateur agréé, ECOCERT, qui bénéficie de plus de 30 années d'expérience en audit et en certification biologique, en France et dans plus de 130 pays. 100% des plantes utilisées dans notre Cytactif sont certifiées BIO.

  • Une formule sans arôme et sans colorant   

Chez Fitoform, pas de superflu ! Peut-être que des arômes ou colorants rendraient le comprimé plus « attrayant », mais nous préférons assurément laisser la place aux plantes et aux actifs.       

  • Une dose efficace et une prise facilitée   

La gélule est constituée de deux capsules de « gélatine » végétale (hypromellose), dures et emboitées, qui renferment le mélange d’ingrédients en poudre. Les principes actifs sont libérés dans le tube digestif par destruction de l’enveloppe. La gélule protège les actifs qui sont à l’intérieur contre les risques externes de dégradation (comme l’oxygène, par exemple).    

  • Une sélection de plantes de qualité   

Nous privilégions au maximum les circuits courts, l’origine France dès que possible, la qualité BIO systématique pour nos plantes, des producteurs qui apportent des garanties en termes de qualité, d’efficacité (bulletin d’analyses sur les actifs des plantes), et de sécurité (plan de contrôle). Du sérieux, quoi !       

  • Focus sur la qualité de la formule   

100% d’ingrédients naturels

100% d’ingrédients actifs

100% d’ingrédients BIO   

Quantité totale de plantes par dose journalière recommandée* : 626 mg   

*calculée à partir de la somme des poudres de plantes et des équivalents plantes issus des extraits. 

 

Ingrédients naturels actifs

  • Cranberry dosé en PAC (proanthocyanidines)
  • Chiendent
  • Propolis
  • Lactobacillus sporogenes

Liste des ingrédients

Extrait de baies de Cranberry* (Vaccinium macrocarpon) origine Amérique du Nord. Gélule végétale (hypromellose). Antiagglomérants : carbonate de calcium, talc. Extrait de rhizomes de Chiendent* (Elymus repens). Extrait de propolis*. Lactobacillus sporogenes. Antiagglomérant : carbonate de magnésium.  

 

*Ingrédient issu de l’agriculture biologique.  

Tableau de composition

Pour 2 gélules Quantité
Extrait de Cranberry 360 mg / 10g**
… dont PAC 36 mg
Extrait de Chiendent 100 mg / 400 mg**
Extrait de Propolis 100 mg
Lactobacillus sporogenes 66 mg
… soit en Unité Formant Colonie (UFC) 1.10^9

**En équivalent plante

 

Comment prendre soin de ses reins ?

Comme le foie, les reins sont également des émonctoires, qui jouent un rôle essentiel dans les mécanismes de drainage et d’élimination. Ils « filtrent » le sang en éliminant dans les urines les déchets produits par le corps, comme l’urée et la créatinine. L’urée est le résultat de la décomposition des protéines par le corps. La créatinine, quant à elle, est produite par les muscles et filtrée par les reins. Rappelons que ces déchets pourraient être toxiques s’ils restaient dans la circulation sanguine ! C’est dire si les reins sont des organes indispensables !   

Outre leur fonction d’élimination des déchets, les reins assument d’autres rôles physiologiques : 

  • Régulation de la quantité d’eau dans l’organisme

Les reins sont capables d’éliminer le surplus d’eau ou encore de retenir l’eau quand le corps en a besoin d’une plus grande quantité.

  • Équilibre des sels minéraux dans le corps

Notamment pour les sodium, potassium, calcium et phosphate provenant des aliments. En cas d’excès, les reins sont capables d’évacuer le surplus dans les urines. De vrais régulateurs !   

  • Production d’hormones

les reins fabriquent des hormones essentielles à notre équilibre et notre bien-être, comme celles qui régulent la tension artérielle, contribuent à la production de globules rouges et équilibrent le calcium et le phosphore dans l’organisme.

Au vu de leur fonctionnement d’élimination des déchets, on comprend mieux pourquoi boire de l’eau en bonne quantité et chaque jour est un réflexe essentiel. Les apports journaliers recommandés en eau sont d’environ 1,5 litre de boissons (eau, café, thé, tisane) auxquels d’ajoutent environ 600 mL apportés par notre alimentation (fruits, légumes, laitages, etc).   

Boire de l’eau permet donc de diluer les urines, limiter le risque de formation de calculs rénaux et prévenir la survenue d’infection urinaire. En cas de sensibilité aux infections urinaires, il est recommandé d’augmenter sa consommation d’eau à environ 2 litres d’eau par jour. A l’inverse, en cas de colique néphrétique, souvent déclenchée par un calcul urinaire, mieux vaut limiter sa consommation d’eau pour éviter de mettre les reins sous tension et d’augmenter la douleur.  

Prendre soin de ses reins passe aussi par une alimentation saine et équilibrée, donc peu riche en graisses saturées et en protéines animales, et peu salée. En effet, un excès de sel à long terme peut favoriser l’hypertension artérielle et endommager les reins.   

Les reins étant si précieux, il est bien sûr conseillé de consulter rapidement son médecin traitant en cas d’apparition de certains troubles (douleurs, urines colorées ou au contraire délavées, etc…) [4]. 

Qu’est-ce qu’une infection urinaire ?

Les infections urinaires sont des infections qui touchent surtout la vessie (appelées cystites), mais elles peuvent aussi atteindre les voies urinaires et les reins. Elles sont généralement provoquées par des bactéries (Escherichia coli - E. coli - est l’agent pathogène le plus souvent responsable) qui remontent via l'urètre et prolifèrent dans la vessie. L'environnement chaud et humide de la vessie est un lieu de prolifération idéal pour les bactéries !   

Les symptômes peuvent être légers, jusqu’à franchement désagréables : le plus courant est la sensation de brûlures, voire la douleur, en urinant. L’envie d’aller aux toilettes est fréquente, même si la vessie est vide ; le malade élimine à chaque miction de toutes petites quantités. Il ressent souvent une sensation de poids dans le bas du ventre, voire des douleurs. On peut aussi noter des urines troubles, dégageant une odeur inhabituelle. Bref, que des sensations pénibles ! Le plus souvent, une cystite n'entraîne pas d’autres complications. Mais l’infection peut remonter jusqu’aux reins (pyélonéphrite), ce qui est beaucoup plus dangereux. Dans tous les cas, l’apparition d’une fièvre, même légère, doit appeler à la plus grande vigilance ! 

Les infections urinaires sont un problème de santé publique, encore plus chez les femmes. En effet, chez la femme (et chez la petite fille) l'urètre est court, d’où un risque plus important de cystite. On sait qu’1 femme sur 2 présentera au cours de sa vie un ou plusieurs épisodes de cystite aiguë. Deux pics de fréquence sont observés : au début de l’activité sexuelle et après la ménopause, à cause de la chute d’œstrogènes et des risques accrus d’incontinence urinaire.   

Mais n’oublions pas que les hommes peuvent aussi développer ce genre d’infections de la vessie, même si elles sont rares chez l'homme jeune, grâce à la longueur de leur urètre ! A un âge plus avancé, l’arrivée possible de maladies de la prostate - gênant la vidange de la vessie - peut cependant favoriser ce genre d’infections.

En cas de cystite, le premier réflexe, même si aller aux toilettes est très désagréable, est de boire beaucoup d’eau, au minimum 2 litres par jour. En effet, augmenter le volume des urines permet en partie d’empêcher les bactéries d’adhérer aux parois des voies urinaires, en maintenant un flux quasi constant d’urine (d’où l’intérêt aussi des plantes diurétiques, nous en parlerons plus tard). Mais le traitement classique d’une infection urinaire est une consultation médicale, souvent après 2 jours de symptômes, pour une prescription d’antibiotiques (dans 54% des cas d’infections chez les femmes), qui devient problématique en cas d’infections urinaires récidivantes, notamment chez la femme. En effet, ces traitements ne sont pas dépourvus de risques de résistance et d’effets indésirables. C’est pourquoi les personnes sujettes aux infections urinaires se tournent volontiers vers des voies de traitement alternatives non médicamenteuses, à commencer par l’utilisation de canneberge. Ainsi, 38% des femmes françaises concernées par des infections et/ou inconforts urinaires ont déjà consommé de la canneberge.   

La littérature scientifique commence à être bien documentée en ce sens, par de nombreuses études scientifiques, notamment au Canada [4, 5, 6,7] 

La consommation de Canneberges (cranberries)

La canneberge fait partie de la famille des Éricacées. Elle pousse à l’état naturel sur les sols acides et pauvres des tourbières et des littoraux. Plusieurs noms désignent ce petit fruit acidulé, cousin du bleuet : pomme des prés, atoca ou atoka, airelle, et encore pois de fagne. En anglais, on la désigne sous le nom de « cranberry ». Il existe plusieurs variétés de canneberges, mais on va se concentrer sur la variété qui fait l’objet d’études en urologie, à savoir la canneberge américaine (V. macrocarpon), qui est cultivée à grande échelle dans certaines parties du nord des États-Unis. Ses petites fleurs, du rose au rouge, apparaissent en juin, et les baies rouges mûrissent en septembre, ayant une saveur légèrement acide.   

80% de la production de canneberges est transformée en jus et fruits séchés, mais la gamme de produits à base de canneberges grandit : boissons gazeuses, biscuits, céréales, confitures, coulis, etc… [4]

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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